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Le «génocide arménien» est une machination monstrueuse, fabriquée contre la TurquieSuite à la récente publication de l’ouvrage d’Yves Bénard « Génocide arménien : Et si on nous avait menti » le site Aze.az présente quelques idées de l’auteur et propose de voir son site http:, pour soutenir la pétition afin d’obtenir de la classe politique française, la mise en place d’une commission d’historiens impartiaux qui auront pour mission d’étudier les archives ottomanes et arméniennes et qui devront répondre aux questions suivantes:
- Combien y a-t-il eu de victimes arméniennes pendant la première guerre mondiale?;
- Combien y a t- il eu de victimes arméniennes décédées pendant les transferts et de quelles manières sont-elles décédées? ;
- Combien y a-t-il eu de victimes turques civiles, assassinées pendant cette même période, par le Daschnaksoutioun? ;
- Y a-t-il eu génocide, oui ou non? ;
« Les Turcs sont des victimes de l’injustice profonde. Nous ne parlons jamais de leurs victimes, tandis que nous évoquons celles des Arméniennes plus souvent que les victimes d’Holocauste. Pourtant, les victimes turques sont plus nombreuses. Les membres de l’organisation terroriste arménienne « Daschnaksoutioun » effectuaient le massacre de la population civile turque, en tuant ainsi quelques centaines de milliers de victimes innocentes. Toutes les victimes sont égales devant le Dieu. Les victimes turques devraient être reconnues et acceptées en France aussi bien que toutes les autres victimes.
Les officiers russes, témoins des massacres des civils turcs effectués par les Arméniens, les qualifient comme le génocide. Monsieur Ovanes Katchznouni, premier-ministre arménien de l’époque, dirigeant du parti arménien « Daschnaksoutioun » et monsieur Pierre Loti, qui ont joué un rôle important dans les événements de la première guerre mondiale en Empire Ottoman, ont réfuté le « génocide arménien ».
« Je suis convaincu, que depuis la sortie du livre d’Ovanes Katchaznouni, dans lequel les faits rapportés sont en contradiction avec la thèse arménienne, les organisations de lobbying arméniennes sont moins virulentes qu’avant. J’en veux pour preuve qu’à Paris, pendant l’illumination, de la Tour Eiffel aux couleurs de la Turquie, les Turcs ont pu faire la fête sans être dérangés. Je ne crois pas que cela aurait été possible avant la réapparition de ce livre.
Le «prétendu génocide arménien » est une machination terrible, fabriquée contre la Turquie par le gouvernement de l’Empire Britannique, la Russie de tsar et la majorité des grandes puissances européennes, parmi lesquelles était la France, qui avait besoin de ce « génocide » pour justifier la défaite de l’Empire Ottoman agonisant. De cette manière, elle a vengé les 6 siècles d’humiliation passés à l’ombre de ce pouvoir puissant. Sans parler de l’amertume constante, causée par la prise de Constantinople le 29 mai 1453 de la part du Sultan Mehmet II Fatikh, qui a mis fin au pouvoir de 1000 ans du christianisme orthodoxe par la transformation de la capitale de Byzance en capitale musulmane. La vengeance est un plat qui se mange froid.
Les Arméniens, spécialistes dans l’art de manipuler une information, ont bien joué leur rôle. Le « génocide » a apparu très vite avec les 400 000 victimes. Plus tard ce chiffra a augmenté. Á présent, il a atteint 1,5 millions et avance vers 2 millions. Il est l’heure d’arrêter ce bal masqué, qui n’a plus aucune raison d’exister. Les preuves de l’innocence de la Turquie sont gardées aux archives arméniennes, russes, anglaises, françaises et d’autres.
C’est l’heure d’assurer la justice aux Turcs
La tragédie arméno-turque n’a pas dérogé les règles universelles de guerre. Comme dans tous les conflits, les deux côtés commettaient des cruautés.
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