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Bismillah ir-Rahman ir-Raheem was-salaat was-salaam `ala Nabiyyina Muhammadin wa `ala alihi wa sahibihi ajma`een
La grippe classique est une maladie saisonnière qui apparaît chaque année, normalement lors de la saison hivernale, et tue près de 500.000 personnes dans le monde. Nous assistons depuis quelques temps à une recrudescence d'attaques de virus et à l'instauration d'alertes au niveau mondial.
L'apparition d'un nouveau virus, appelé au départ de la "grippe porcine", rebaptisé dans un premier temps par certains pays "grippe mexicaine" (selon l'origine géographique de l'épidémie) et dont le nom finalement officialisé par l'OMS est son nom scientifique, A/H1N1, crée beaucoup de craintes dans le monde scientifique et la population internationale. Mais il ne faut jamais oublié que la nature nous propose d'excellentes armes préventives et même curatives, à la portée de chacun.
Nous vous proposons les ingrédients les plus efficaces, mais ce ne sont pas les seuls, la nature est généreuse et offre une profusion de remèdes aux nombreuses menaces et troubles de santé pouvant affecter l'homme ou l'animal.
Comment attaque le virus?
Le virus grippal qui nous préoccupe se transmet d'un humain à l'autre. La transmission entre humains ne se produit que par voie respiratoire, avec des gouttelettes riches en virus provenant de la toux et des éternuements des sujets infectés.
Lorsqu'il infecte le corps humain, ce virus se fixe sur les cellules respiratoires et traverse l'épithélium, une sorte de couche protectrice à la surface des tissus. Il reprogramme alors la cellule et détourne ses activités à son profit: c'est-à-dire pour se multiplier. Ainsi, chaque cellule infectée peut produire plusieurs centaines de virus, qui gagnent l'ensemble du système respiratoire. La durée d'incubation de cette grippe est de 3 à 7 jours, parfois plus chez les jeunes enfants.
Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Devant la menace de pandémie de grippe aviaire H5N1 ou dérivés, il paraît mille fois préférable de faire appel à des techniques stimulant l'immunité, plutôt que de vouloir détruire à tout prix un virus qui, de surcroît, mute sans arrêt. Une bonne hygiène de vie La nature qui «a horreur du vide» met à notre disposition des techniques de soins et des remèdes peu coûteux et efficaces à l'image de ceux qui ont été utilisés dans la grippe dite espagnole aux USA en 1918. Les cures d'eau, les bains, les lavements intestinaux, le jeûne, des régimes alimentaires comprenant essentiellement de la nourriture naturelle axée sur des jus de légumes et de fruits crus, ou encore l'homoeopathie, avaient donné de bien meilleurs résultats que la médecine officielle. Il est bon également de rappeler ici les conseils judicieux du Dr Elizabeth Rosenthal parus dans The New York Times en mai 2009 : «Le lavage des mains est la première leçon de l'épidémie du SRAS à appliquer à celle de la grippe porcine, mais il y en a d'autres :les masques, qui sont le symbole même de la protection, ne sont que rarement efficaces ; et il ne faut pas non plus hésiter à sortir, car ce n'est pas dehors qu'on attrape la grippe» ! La vitamine C A ces méthodes naturelles, on peut ajouter en supplément aux fruits et légumes frais, la vitamine C -que l'homme est le seul à ne pas synthétiser-à raison de plusieurs grammes par os par jour, auxquelles on peut adjoindre des perfusions de 30 à 40 grammes de vitamine sous forme de Laroscorbine (des laboratoires... Roche} en intraveineux ou alors par la voie rectale avec de la vitamine C naturelle, associée à de la Lysine, plus vite métabolisée par le foie et beaucoup moins onéreuse. En perfusion, la vitamine C permet au rapport acide ascorbique sur acide déhydroascorbique (normalement de 10 à 14), effondré dans les pathologies infectieuses graves, de remonter rapidement, condition indispensable pour le retour à la santé. Il est pour le moins curieux de constater que les travaux de Linus Pauling, l'une des rares personnalités à avoir reçu deux prix Nobel, celui de chimie en 1954, puis celui de la paix en 1962, et qui publia abondamment sur les bienfaits de la vitamine C dès 1970, soient oubliés. Le chlorure de magnésium Le chlorure de Magnésium, dont les qualités curatives ont été mises en évidence sur la polio, le tétanos, la fièvre aphteuse... par le Professeur Delbet, membre de l'Académie de Médecine et de Chirurgie, peut s'avérer particulièrement utile en stimulant les résistances du corps contre la grippe, qu'elle soit classique ou aviaire. Pour un coût des plus réduits : un euro le sachet de 20g ! Outre son intérêt dans le paludisme ou la dengue, ce même chlorure de magnésium donne également des résultats intéressants dans la récente épidémie de Chikungunya qui a touché 241 000 personnes à la Réunion et tué 189 personnes. Alors que «l'Etat est accusé de ne pas avoir réagi à temps ; les médecins de dissimuler des éléments à la population ; et les médias de se rendre complices de ces deux méfaits, les Réunionnais ont retrouvé l'espoir avec le chlorure de magnésium, dont les bienfaits leur ont été communiqués par les centaines de fax transmis par une conseillère municipale de Nice. Les pharmacies ont été prises d'assaut, pour le plus grand profit «des chikungungneux qui ont déjà eu la maladie, et sont donc susceptibles de rechuter. Et tous les autres susceptibles de l'attraper». (Libération, 19 avril 2006) À titre anecdotique, la croisade contre le Chikungunya engagée par cette humaniste conseillère municipale, Marie Billi, a secoué profondément le Landerneau médical niçois. «Rendez-vous compte, en quinze ans d'études, je n'ai pas entendu parler du Chlorure de magnésium. Comment peut-il agir sur des virus ? ... » lui a ainsi reproché une docte spécialiste en endocrinologie. Un élément de réponse nous est apporté par la biologie moléculaire. Le tableau clinique du Chikungunya présente beaucoup de similitude avec celui de la polyarthrite épidémique, liée au Ross River virus qui sévit en Australie. En analogie avec l'arthrite de la maladie de Lyme, les séquelles d'arthrite du Chikungunya se manifestent par un mécanisme d'imitation moléculaire entre l'antigène LFA-1, impliqué dans les premiers stades de l'infection virale et antagoniste de la protéine de surface réactive A des lymphocytes T, et une protéine virale, en l'occurrence le virus gpl du Chikungunya. Une réaction auto-immune pourrait se manifester chez certains patients susceptibles. Alors que les témoignages en faveur du chlorure de magnésium dans le Chikungunya se multiplient, son action bénéfique n'est sans doute pas une coïncidence, puisque la résonance magnétique a montré des liens entre le magnésium et la protéine LFA -1. (Legge GB. and coll : «NMR solution structure of the inserted domain of human leukocyte function associated antigen-1 .»; Journal of Molecular Biology, 2000 Feb 4;295(5):1251-64; Tran M.K.G. 1, Caprani A. Chikungunya arthritis sequelae: Molecular homology between Lyme arthritis Borrelia Burgdorferi, Lymphocyte Functional Antigen-1 alpha (LFA-1 a) and Chikungunya virus gp1, Toulon, 2006) t:emploi du chlorure de magnésium est des plus faciles : dissoudre un sachet de 20 gr dans un litre d'eau de source. Adultes et enfant de plus de 5 ans, 125 cm3 toutes les 6 heures pendant 48 heures, voire au préalable deux doses sur les deux premières heures, puis toutes les 6 heures jusqu'à rétablissement. Pour les enfants d'un an, deux ans, trois ans et quatre ans, prendre respectivement 60 cm3, 80 cm3 ou 100 cm3 toutes les six heures. Ajouté à l'eau de boisson, comme la vitamine C, le chlorure de magnésium peut rendre également d'immenses services aux volailles débilitées par les conditions d'élevage et d'alimentation. Le Chlorure de magnésium peut être remplacé par le Nigari, obtenu en faisant traverser une masse importante de sel marin complet, par une petite quantité d'eau. t:eau prélève les composés minéraux qui ont le plus d'affinité avec elle. Le Nigari est composé notamment de 84% de chlorure de magnésium naturel et 2,9% -Ge sulfate de magnésium. Il se prend à raison de 3 grosses cuillères à soupe par litre d'eau, un verre par jour ou pulvérisé sur les plats quotidiennement, ce qui assure une charge en magnésium régulière pour l'organisme. Intervenant au niveau du métabolisme cellulaire, le chlorure de magnésium réduit le stress oxydatif et mériterait donc d'être utilisé plus largement à titre préventif, à raison d'un ou deux verres par jour, en fonction de la tolérance digestive, les effets secondaires se limitant à une éventuelle diarrhée transitoire. L'Homoeopathie et I'Aromathérapie Dans le même esprit, l'aromathérapie, mises à part quelques rares allergies, mériterait d'être conseillée par nos autorités en panne de traitement efficace, avec une bien meilleure tolérance et un coût nettement moins élevé que le Tamiflu®. Dans le cadre de la grippe aviaire, le Docteur Jean-Pierre Wilhem, fondateur notamment des Médecins aux pieds nus, préconise, en plus des règles d'hygiène basiques, avec suppression des produits raffinés et acidifiants, en privilégiant les produits frais et l'exercice physique régulier avec mise en route du processus de sudation, l'association de l'homoeopathie, de la phytothérapie et des huiles essentielles. Une bonne prévention peut être assurée par la prise, sur trois jours, d'une dose d'lnfluenzinum en 200 Korsakovienne (plutôt qu'en Hahnemanienne), suivie d'une dose de Thimuline en 200K, puis de sérum de Yersin et d'Aviaire en 200K également, à renouveler tous les quinze jours au changement de lune. Après une répertorisation minutieuse des symptômes présentés par les premières personnes, un bon homoeopathe trouvera le remède homoeopathique correspondant aux divers états de la maladie afin de faciliter l'évolution vers la guerison. t:échinacea en TM (20 gouttes deux fois par jour) et la propolis (quelques gouttes, deux fois par jour) peuvent renforcer le système immunitaire à raison de cures hebdomadaires, une à deux fois par mois. D'autre part, plusieurs huiles essentielles ont une action antivirale reconnue, tels le Ravintsara, l'Eucalyptus, le Niaouli, le Romarin à cynéole, la Menthe poivrée, le Cajeput, le Bois de rose. Mélanger quelques-unes de ces huiles essentielles à parts égales et les diffuser chez soi, trois fois 20 minutes chaque jour. Puis confectionner une huile de massage en les ajoutant à de l'huile végétale (huile d'amande par exemple) dans une proportion de 1 pour 10 et s'enduire l'ensemble du corps chaque matin et les mains plusieurs fois par jour. Le Kimchi, plat national coréen, Plat national coréen, le Kimchi est composé de chou fermenté dans du vinaigre assaisonné de poivrons rouges, de radis, d'ail et de gingembre. Il pourrait constituer un traitement de choix en Asie du Sud-est, confirmant ainsi la devise énoncée, il y a 2 500 ans, par Hippocrate : «Oue ta nourriture soit ton remède et ton remède, ta nourriture». Monsieur Kang Sa-ouk, professeur de microbiologie à l'université nationale de Séoul, a en effet obtenu des résultats très intéressants avec le Kimchi, chez des poulets contaminés par le virus AIH5N1. Dans une ferme avicole coréenne, son équipe universitaire a procédé à une expérience sur trois groupes de treize poulets contaminés par le virus AIH5N1. Le premier groupe n'a eu que de l'eau, tandis que le second s'est vu injecter du liquide de culture provenant du «Leuconostoc Kimchii», ferment lactique contenu dans le Kimchi. Le dernier groupe a eu droit à du fluide de culture dilué de Leuconostoc Kimchii. Une semaine plus tard, toutes les volailles du premier groupe avaient péri. Mais 11 poulets de chacun des deux groupes restants étaient guéris. En outre, les poulets du deuxième groupe, ceux qui ont reçu des doses de fluide pur, ont retrouvé leur état normal, ne souffraient plus de diarrhée et sont passés d'un poids de 750-800 grammes à 1,5 kg. «Nous avons découvert que les poulets se remettaient de la grippe aviaire, de la bronchite et de la pseudo peste aviaire. Le taux de mortalité des oiseaux chutait, ils étaient plus vifs et leurs déjections redevenaient normales» a précisé le Professeur Kang. «Cette étude a démontré qu'en plus de son potentiel antibactérien déjà prouvé, le fluide de culture de Leuconostoc Kimchii est efficace pour traiter les affections virales». Depuis, la consommation de Kimchi a fortement augmenté en Corée du Sud, pour l'homme comme pour les volailles, et la grippe aviaire s'est envolée vers d'autres cieux ! L'immunothérapie régulatrice Après avoir signalé que les médecines globales, que sont les médecines traditionnelles chinoises et ayurvédiques, peuvent également agir favorablement sur les infections virales, nous terminons cette approche sur toutes les possibilités thérapeutiques respectueuses du «primum non nocere», par l'immunothérapie régulatrice, intégrant la biologie quantique. Notre système immunitaire est bien plus qu'un instrument de lutte contre les intrus pathogènes : bactéries, parasites, champignons, virus... Par le cycle entéro-hépato-rénal, il est en relation étroite avec le système nerveux et le réseau des glandes hormonales. Cellules immunitaires spécialisées, les lymphocytes (ou globules blancs) présentent à leur surface des molécules ayant leur propre fréquence bio-électromagnétique, qui leur permet de distinguer tous les types cellulaires d'un organisme. À la moindre alerte, les lymphocytes libèrent des molécules (les immunoglobulines, qui ont leur propre fréquence électromagnétique) dans tout l'organisme, via les voies sanguines et lymphatiques. Chez un individu perturbé par des informations défectueuses, en rapport avec une agression virale ou bactérienne par.exemple, il est possible d'agir en lui apportant, par des immunoglobulines choisies, la bonne information, avec la bonne fréquence, qui permettra à l'organisme de lutter contre la pathologie et de retrouver son équilibre de . VIe. Un laboratoire de biologie quantique bordelais a ainsi obtenu des immunoglobulines spécifiques, en déclenchant une réponse immunitaire chez des juments qui avaient reçu une préparation homéopathique spécifique. De composition quasi-identique à celle du lait maternel, le lait de jument en est le meilleur substitut. Pauvre en caséine et riche en protéines spécifiques du système immunitaire (les immunoglobulines lgA, lgG et lgM), le lait de jument, chez laquelle on a provoqué une réponse immunitaire, avec la préparation homéopathique spécifique, pourra agir d'autant mieux sur le système immunitaire perturbé, que la préparation d'immunoglobuline aura été soumise à une dynamisation, correspondant à la fréquence bio-électromagnétique du placenta caractéristique de la vie. Le charbon végétal activé Ainsi que l'ont montré de nombreuses études scientifiques, le charbon végétal activé a la capacité d'absorber les virus de la variole du mouton, ou de la fièvre aphteuse, mais également d'autres virus comme les coronavirus, les enterovirus et poliovirus. S.Watarai et Tana, du laboratoire d'immunologie vétérinaire de l'université d'Osaka au Japon, ont ainsi montré chez des poulets contaminés par Salmonella enteritidis, la disparition, dans leurs excréments, de cette bactérie après quinze jours d'une alimentation contenant du charbon activé. (S. Watarai and Tana: Laboratory ofVeterinary lmmunology, Graduate School of Agriculture and Biological Sciences, Osaka Prefecture University, Japan : «Eiiminating the Carriage of Salmonella enterica Serovar Enteritidis in Domestic Fowls by Feeding Activated Charcoal from Bark Containing Wood Vinegar Liquid (Nekka-Rich» ; in Poultry Science.2005 Apr ;84(4) :515-21.) De son côté, la vaccination des poulets n'a pas inhibé complètement la prolifération bactérienne, l'excrétion fécale de S. Enteritidis continuant avec régularité. Ignorées ou discréditées par les laboratoires pharmaceutiques, ces possibilités thérapeutiques, beaucoup plus économiques que les antiviraux et les vaccins, qui ont largement montré leurs limites, peuvent-elles être occultées par les autorités sanitaires ? Participant à l'émission Ripostes sur France 5 de juin 2006, le ministre de la santé, Xavier Bertrand, a insisté sur la nécessité d'avoir «des traitements, des médicaments pour tout le monde sans exception, qu'il n'y ait aucune priorité et voilà aussi pourquoi il faut des moyens de protection pour tout le monde et voila aussi pourquoi il faut tout prendre au sérieux». . Evoquant le Chikungunya, le ministre a ainsi ajouté : «Ce qui est terrible dans le Chikungunya, c'est qu'il n'y a aucun traitement existant, or quand on me dit à un moment donné qu'il y a une piste vague américaine d'un vaccin qui avait été testé, on me dit cela ne doit pas être sérieux. Ben ça vaut la peine de regarder si c'est sérieux. Je demande à rencontrer mon homologue américain, on va voir sur place et l'on s'aperçoit que la piste est bien, vaut la peine d'être explorée et que si ça marche comme on le pense, comme le disent les scientifiques aujourd'hui, on peut gagner cinq ans pour avoir un vaccin». Dont acte, Monsieur le ministre... Mais pourquoi, dès lors, le Ministre de la santé, pourtant dûment informé des bienfaits du Chlorure de magnésium, pour ne citer que cet exemple, persiste-il dans la promotion de molécules peu efficaces, particulièrement onéreuses et même dangereuses, ou dans celle de vaccins qui ont démontré régulièrement leur inefficacité, y compris en période d'épidémie. Est-il nécessaire de rappeler, qu'après avoir observé la survenue d'épidémies de variole lors de la dernière campagne mondiale de vaccination contre la variole, en 1960, chez des populations pourtant vaccinées à 95%, l'OMS avait dû recommander la suspension de cette vaccination pour laquelle «le nombre de complications graves pouvant survenir pendant l'enfance est hors de proportion avec le risque de complications entraînées par la variole elle-même.» A-t-on oublié la psychose provoquée aux Etats-Unis, dans le cadre de la grippe porcine, en 1976, après le décès d'une seule personne, et la campagne de vaccination massive, interrompue en raison de nombreux décès et paralysies ? Ces faits, parmi de nombreux autres, sont autant de remise en question d'une politique vaccinale aveugle, érigée en dogme par les laboratoires, qui, rappelons-le, ne fournissent qu'un à 10 % de leurs données pharmacologi- ques. Plutôt que de mettre tous ses oeufs dans un panier percé, en apportant une confiance aveugle à ces mêmes laboratoires, Madame le Ministre de la santé aura-t-elle le courage politique de prendre au sérieux et avec impartialité, les données scientifiques concernant le Chlorure de Magnésium, le Kimchi, la vitamine C, l'aromathérapie, le charbon t. . ?ac 1ve.... Dans des pathologies aussi graves que le paludisme, la dengue, les infections nosocomiales, la grippe aviaire chez l'homme, les méningites à méningocoques, les septicémies ... a-t-on le droit de se passer de ces thérapies et notamment du chlorure de magnésium et de la vitamine C, lesquels permettraient certainement de réduire la mortalité importante, qu'ils soient ou non associés à l'antibiothérapie, source de résistances de plus en plus nombreuses ?