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Sur l'assassinat du savant syrien Saïd Ramadan El-Bouti
4 participants
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abdelrahman 5 Grades
Nombre de messages : 1658 Age : 53 Localisation : roubaix Date d'inscription : 16/12/2012
Sujet: Sur l'assassinat du savant syrien Saïd Ramadan El-Bouti 2013-04-08, 08:31
Dernière édition par abdelrahman le 2014-11-11, 13:01, édité 3 fois
tarek nouveau / nouvelle
Nombre de messages : 16 Age : 45 Localisation : algerie Date d'inscription : 17/03/2013
Sujet: Re: Sur l'assassinat du savant syrien Saïd Ramadan El-Bouti 2013-04-08, 08:54
البوطي يصرح بالحلول والتجسيم في حق الله تعالى والعياذ بالله تعالى من الكفر
:
Bouti professe l'anthropomorphisme et des solutions dans la droite de Dieu Tout-Puissant que Dieu nous en préserve de l'infidélité ول البوطي في صحيفة 16-17 من كتابه "الفكر والقلب" عن الإنسان [وعندئذ يعلم أنه إنما خُلِق ليقيم نفسه على سلوك يجعله مظهرًا لألوهية الله في الأرض].
sister B 9 Grades
Nombre de messages : 10451 Localisation : ... Date d'inscription : 03/11/2011
Sujet: Re: Sur l'assassinat du savant syrien Saïd Ramadan El-Bouti 2013-04-08, 11:50
Celui qui dit : "La salafiya est une bid’a !"
Question :
Que pensez-vous de celui qui critique la Salafiyyah et qui dit que c'est une Bid'ah ?
Réponse :
Celui qui dit que la Salafiyyah est une Bid’ah est un docteur de la secte des Ashaa’irahs qui est bien connu.
Si un jeune aujourd’hui dit cela, c’est probablement qu’il a lu le livre du docteur Al-Bouti (1).
Celui qui a écrit un livre dans lequel il prétend que la Salafiyyah est une Bid’ah.
Est-ce que le docteur Al-Bouti croît en la voie des gens de la Sounnah et de la Jamaa’ah et condamne en même temps la Salafiyyah ? Cela est une contradiction !
Probablement que cet homme à été affecté par les Salafis en Syrie (Ash-Shaam).
Il existe là-bas un groupe dans leur pays qu’on nomme les Salafiyyounes. Et il se peut que ce soit l’esprit d’amertume qui règne entre lui et entre les Salafiyyines là-bas qui a crée en lui cette contradiction.
Sinon cette contradiction est très mauvaise.
Bien que Al-Bouti est très extrémiste dans sa secte Ash’ariyyah.
Et il dit dans son livre – Koubraa Al-Yaqiiniyyaat – que : « Nous ne pouvons plus aujourd’hui nous permettre de dire à propos de la parole d’Allah : (Le Tout-Miséricordieux (Ar-Rahman) s’est élevé au dessus du Trône) Taha : 5.
Nous ne pouvons plus nous permettre de dire comme le disait l’Imam Malik : “Al-Istiwa (l’action de s’élever) est bien connu (Ma’loum), mais le comment (Al-Kaif) est inconnu (Majhoul), y croire est une obligation (Waajib), et d’en questionner le “comment” est une Bid’ah!” ».
Il (Al-Bouti) dit : « Nous ne pouvons plus nous permettre cela, car nous avons étudié la rhétorique (Al-Balaaghah), et nous avons étudié la linguistique et nous sommes capables d’extraire des significations précises du Qor’an. »
Ce qui signifie que le docteur Al-Bouti prétend qu’il connaît mieux la langue que l’Imam Malik Ibn Anas et qu’il n’est pas possible pour lui d’accepter ce que les premiers musulmans ont acceptés.
Allahoul-Mousta’aan, Nous demandons à Allah la fermeté, pour nous-mêmes et pour vous.
Traduit par Abou Hammaad Sulaiman Al-Hayiti Mercredi le 4 août 2010, Montréal, Québec, Canada. --------------------------------------------------------------------------------------- (1) Il s’agit du docteur Mohammad Sa’id Ramadan Al-Bouti, un égaré qui défend la Bid’ah qu’on nomme Tasawwouf (le Soufisme) et qui suit la secte des Ashaa’irahs. Le Sheikh Salih Al-Fawzaan a écrit une réfutation des propos qu’Al-Bouti a exprimés dans son livre dans As-Salafiyyah et il dit :
(Je suis tombé sur le livre du docteur Mohammad Sa’id Ramadan Al-Bouti qui a pour tire « As-Salafiyyah marhalah zamaniyyah moubarakah la madh-haboun islaami. » (La Salafiyyah une époque bénie, pas un Madh-hab Islamique).
Ce titre m’a surpris car il semble vouloir nier que les Salafs avaient un Madh-hab et un Manhaj que nous sommes obliger de connaître et auquel nous devons nous accrocher et qui nous oblige d’abandonner tout Madh-hab qui s’y oppose. Lorsque j’ai lu le livre, j’ai trouvé que ce qu’il contient est encore plus étrange que son titre, car il dit que de prendre la Salafiyyah comme Madh-hab est une Bid’ah et il déclare la guerre aux Salafis!
On se demande bien ce qui à pu le pousser à déclarer cette offensive violente contre la Salafiyyah et les Salafis? Une attaque qui est même lancée contre les anciens parmi les Salafis, comme Sheikhoul-Islam Ibn Taymiyyah et Sheikhoul-Islam Mohammad Ibn ‘Abdul-Wahhaab! Est-ce que ce qui le pousse à cela est sa haine pour les Bid’ahs, du fait qu’il considère que de prendre la Salafiyyah comme Madh-hab est Bid’ah et il l’a déteste pour cette raison?
Non! Ce n’ai pas la haine des Bid’ahs qui lui a fait détester le Manhaj des Salafs, car nous avons trouvé qu’il défend plusieurs Bid’ahs dans son livre. Parmi ces Bid’ahs, il supporte la Bid’ah du Dhikr Soufi. Il supporte les Dou’ahs en groupes après la prière obligatoire, alors que c’est une Bid’ah. Il supporte le pèlerinage pour visiter la tombe du prophète (Sallallahou ‘Alaihi wa sallam) et c’est une Bid’ah.
Il nous a donc semblé clair – et Allah sait mieux – que ce qui l’a poussé a déclancher cette attaque, c’est le fait qu’il se sent à l’étroit face aux opinions de la voie Salafiyyah qui combat les Bid’ahs et les idées que suivent beaucoup de gens dans le monde musulman aujourd’hui et qui ne sont pas compatible avec le Manhaj des Salafs...) Fin de la citation.
telecharger la video: https://www.box.com/shared/0cqpdfypxd
Cheikh Mouhammad Âman bnou 'Alî al Jâmî
abdelrahman 5 Grades
Nombre de messages : 1658 Age : 53 Localisation : roubaix Date d'inscription : 16/12/2012
Sujet: Re: Sur l'assassinat du savant syrien Saïd Ramadan El-Bouti 2013-04-09, 02:13
Salam aleykoum wa rahmatoula wa barakatou
Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
Ce qui me fait le plus peur pour vous est un homme qui a appris le Coran, jusqu’à ce que cela produise une belle aura sur lui, et il devint une calamité pour l’Islam : Ils s’en éloigna (s’extirpa de lui) et se détourna de lui, et a cherché à tuer son voisin avec l’épée, et l’a traité d’associateur (mécréant). J’ai dit : Oh prophète d’Allah, qui est le plus méritant de l’association ? Celui qui a accusé ou l’accusé ? Il dit : C’est l’accusateur. Rapporté par Hudaïfa Ibn El Yamane. Recceuil d’Al Albani. Essilsila Essahiha (La chaîne authentique). Numéro 3201. Hadith authentique.
إن أخوف ما أخاف عليكم رجل قرأ القرآن ، حتى إذا رئيت بهجته عليه ، وكان ردءا للإسلام ؛ انسلخ منه ونبذه وراء ظهره ، وسعى على جاره بالسيف ، ورماه بالشرك . قلت : يا نبي الله ! أيهما أولى بالشرك ، الرامي أو المرمي ؟ قال : بل الرامي الراوي: حذيفة بن اليمان المحدث:الألباني – المصدر: السلسلة الصحيحة – الصفحة أو الرقم: 3201 خلاصة حكم المحدث: حسن
abdelrahman 5 Grades
Nombre de messages : 1658 Age : 53 Localisation : roubaix Date d'inscription : 16/12/2012
Sujet: Re: Sur l'assassinat du savant syrien Saïd Ramadan El-Bouti 2013-04-09, 13:17
Salam aleykoum wa rahmatoula wa barakatou
Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
Qaradâwî a-t-il une responsabilité morale dans l’assassinat de Ramadan Al-Bouti?
Depuis son soutien sans faille à la politique étrangère du Qatar, le Cheikh Al-Qaradâwî essuie désormais des attaques virulentes de la part de religieux issus du coeur même du sunnisme (...)
Le cheikh Yûsuf Al-Qaradâwî, au nom de l'Union Mondiale des Savants Musulmans qu'il préside, a certes condamné fermement sur son site internet , le 23 mars 2013, l'assassinat du cheikh syrien Ramadan Al-Bouti victime d'un attentat dans une mosquée de Damas.
Cependant, on peut légitimement s'interroger sur l'ambiguïté de cette condamnation. En effet, trois mois auparavant, soit en décembre 2012 , au cours de l'émission phare d'Al-Jazîra ("La charia et la vie") dont il est l'invité vedette (voir vidéo ci-dessous), le théologien qatari, devant des millions de personnes, à une question d'un téléspectateur arabophone l'interrogeant sur la licéité ou permission de prendre pour cible les soutiens du régime de Bachar Al-Assad, au premier rang desquels "les oulémas du pouvoir", eut une réponse hallucinante et d'une violence inouïe, dont voici certains traits : "(...) Ceux qui agissent avec le pouvoir, il nous est obligatoire de tous les tuer: militaires, civils, oulémas, ignorants (...) ceux qui sont du côté de ce pouvoir (régime syrien) injuste (...) qui a tué les gens sans raison, ils sont injustes comme lui (...) ceux qui tuent pour lui, que ceux-là soient tués à leur tour ".
De quels "Oulamas" parlait Al-Qaradâwî ? The Peninsula, qui est un des quotidiens qataris les plus importants en langue anglaise avait écrit un article le 26 février 2012, dans lequel il citait les propos d'un prêche que le Cheikh Al-Qaradâwî avait donné à la mosquée Omar ibn al-Khattâb à Doha. Yûsuf Al-Qaradhâwî interpellait clairement le cheikh Al Bouti: "Comment pouvez-vous soutenir un régime qui réprime quotidiennement son peuple et tue autant de personnes innocentes". Yûsuf Al-Qaradhâwî allant jusqu’ à affirmer dans ce prêche qu'Al Bouti "dénaturait l'islam" ( accusation grave dans la religion musulmane ) par son soutien apporté à "ce rat d'Assad ".
Pour la presse tunisienne, algérienne, syrienne et iranienne, il ne fait aucun doute également que Qaradâwî faisait allusion au cheikh Mohammed Saïd Ramadan al-Bouti, figure religieuse très respectée dans le monde arabe, qui avait apporté sans hésiter son soutien au régime de Bachar Al-Assad. Lors des funérailles d'Al-Bouti qui ont eu lieu à la Grande Mosquée des Omeyyades, des images prises avec un portable montrent une foule en colère désignant clairement Al-Qaradâwî comme le responsable de sa mort. ( voir ci-dessous).
Ces appels au meurtre de la part d'un dignitaire religieux se prévalant d'une autorité morale à l'échelle du monde musulman, ont énormément choqué une partie de la presse arabe. Mais le théologien qatari qui n'en n'est pas à son premier fait d'armes, s'était déjà distingué sur cette même chaîne, en février 2011, par une fatwa autorisant l'assassinat de feu Muammar Khadafi ( voir vidéo ci-dessous).
Dernière édition par abdelrahman le 2014-11-11, 13:05, édité 1 fois
abdelrahman 5 Grades
Nombre de messages : 1658 Age : 53 Localisation : roubaix Date d'inscription : 16/12/2012
Sujet: Re: Sur l'assassinat du savant syrien Saïd Ramadan El-Bouti 2013-04-09, 13:19
Salam aleykoum wa rahmatoula wa barakatou
Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.
Le Cheikh Al-Qaradâwî de plus en plus critiqué dans le monde musulman
La critique publique du Yûsuf Al-Qaradâwî émanait jusqu'à présent des intellectuels musulmans qui se réclamaient de la modernité, ou encore des milieux de la gauche laïque du monde arabe. Depuis son soutien sans faille à la politique étrangère du Qatar, le Cheikh Al-Qaradâwî essuie désormais des attaques virulentes de la part de religieux issus du coeur même du sunnisme, et notamment en provenance d’une ville sainte de l'Islam: Jérusalem ( voir vidéo à la fin de l'article).
Ces critiques contre le cheikh Al-Qaradâwî sont souvent assimilées à une fitna (divisions parmi les musulmans) dans certains milieux de l'islam politique, pourtant la tradition de l’islam invite les musulmans à l’auto-critique.
La paix et l'éthique, dont le bon conseil et la fraternité humaine, sont la quintessence du message de cette religion: le prophète de l'islam ( SAWS) rappelait à ce sujet: "La religion, c'est le conseil ou la sincérité". "Répandez la paix". "J'ai été envoyé pour parfaire les plus nobles vertus". Omar, deuxième calife de l'islam, surnommé "al-farûq" (celui qui distingue le bien du mal) affirmait : "Soyez les vicaires de Dieu en étant silencieux", et comment lui demanda-t-on: "Par votre éthique". "Que Dieu soit clément à l'égard de quiconque me montre mes faiblesses".
Enfin le Coran précise que : "L"homme a été crée faible"(Sourate Les Femmes) et ailleurs, dans la sourate XVII verset 85: "Il ne vous a été donné que peu de science". La faillibilité et la finitude de la raison sont donc le lot congénital de l'humanité: si l'homme est faible ou faillible, alors les "oulémas" qui sont des hommes, le sont également en bon syllogisme.
En septembre 2012, ce comité d'imams de Jérusalem, emmené par Salahuddin Ben Ibrahim, imam de la mosquée d'Al Aqsa (troisième lieu saint de l’islam), très populaire en Palestine et dans la galaxie musulmane, a organisé une conférence de presse pour lancer une sérieuse mise en garde contre le cheikh Al-Qaradâwî . Cet avertissement assumé publiquement est révélateur du discrédit qui frappe le prédicateur égyptien, dont la réputation a sérieusement été entachée. Son audience dans le monde musulman ne semble plus tenir qu'à l'immense tribune offerte par Al Jazeera, un espace d’expression dont ses détracteurs affirment, qu'il s’est bien gardé d’utiliser pour dénoncer la présence d'une base américaine au Qatar.
De plus en plus de voix s'élèvent dans l'islam pour fustiger la compromission du cheikh Al-Qaradâwî avec la richissime dictature du Qatar. Considéré comme l’un des hommes religieux les plus riches au monde(1), pour la plupart des commentateurs, ce dernier est devenu un Oulama de cour, n'hésitant pas à apporter une caution religieuse à des expéditions guerrières menées contre des pays musulmans, comme ce fut le cas pour la Libye. En dépit de ce soutien de poids, le président Sarkozy ( grand ami de la monarchie du Qatar) humiliera publiquement ce pays et Al-Qaradâwî en refusant au cheikh, pourtant détenteur d'un passeport diplomatique, l'accès au territoire français pour venir assister au 29ème Rassemblement Annuel des Musulmans de France du Bourget du 6 au 9 Avril 2012.
A l'instar du cheikh saoudien, Ibn Baz, qui avait émis une fatwa en 1990 permettant à l'armée américaine de partir à l'assaut d'un pays musulman, en l’occurrence l'Irak, et ce depuis l'Arabie saoudite, Al-Qaradâwî risque fort de rester dans l'histoire comme le Oulama qui aura usé de son autorité religieuse pour délivrer une caution jurisprudentielle à une intervention occidentale en Libye, contribuant ainsi à la destruction d'un autre pays musulman. C'est le sens du message transmis par cet aréopage d’imams, mais dont l'initiative a été totalement passée sous silence par la chaîne Al Jazeera, où officie le cheikh Al-Qaradhâwî .
Les partisans du cheikh Al-Qaradâwî ne manqueront de voir dans cette initiative la main d' officines syrano-iraniennes en vue de disqualifier le prédicateur Qaradawi. Or, ce comité d'imams de Jérusalem brille par son indépendance, puisque sa déclaration s'adresse à tous les dirigeants arabes, le président Assad compris.
Soucieux de l'unité des musulmans et du règlement pacifique de la crise syrienne, dans un discours empreint d'une grande sagesse, l'imam Salahuddin Ben Ibrahim a fixé le cadre de son intervention. Il est clairement dans une démarche diplomatique visant à ménager les différents groupes qui s'affrontent dans ce pays, afin de les réunir autour d'une table de négociation. A partir de 2'00', il précise l'objectif de cette conférence de presse: "Si nous sommes ici, c'est pour dire ce qui doit être dit devant Dieu, sans craindre quiconque. Si nous sommes ici, c'est pour nous détacher devant Dieu des fetwas qui ont été déversés (ndlr: il fait notamment ici à la fetwa du cheikh invitant à tuer le Président libyen Khadafi) et des intrigues et des tromperies qui ont rendu le sang enivrant et le haram autorisé. Qu'Allah fasse miséricorde à tout opprimé et à tout blessé, et à tout naïf qui a rejoint par avidité et crédulité "
Il interpelle ensuite le chef d'Etat syrien Assad (à partir de 9'00), en lui rappelant que le peuple syrien est sous sa responsabilité: "Ces jeunes sont tes jeunes, ces aînés sont tes aînés, et ces proches sont tes frères. Redoute Allah et traite-les avec bonté. Et sache qu'Allah est bienveillant et aime la bonté … Et sache qu'Allah est au-dessus de toi, comme tu es au-dessus d'eux. Alors demande lui pour toi et ton peuple, le bon jugement et l'issue favorable. Quant aux nobles gens en Syrie, savants et peuple syrien, nous leur demandons au nom d'Allah, le Sécurisant, le Salut, de cesser l'effusion de sang, de renoncer et de se tourner vers l'entente et la réconciliation, là est la satisfaction de leur Seigneur et la déchéance de leur ennemi. Voilà pour notre peuple et les musulmans."
Puis à partir de 27'20, l'imam Salahuddin Ben Ibrahim désigne sans détour les responsables du chaos dans certains pays arabes: "J'ai dès le début parler avec franchise, et ouvertement. Il y a trois pieux, tous mauvais: un média menteur, un dignitaire menteur, et un clan menteur. Le clan menteur est une base militaire dans les pays musulmans, le média menteur est Al Jazeera, et le savant menteur (ndlr : il s’agit de Qaradâwi), vous le connaissez. Il a fait des petits qui mentent comme lui. Celui qui s'écarte de ces trois préserve son honneur et sa foi. Ai-je transmis le message ?Allah sois témoin."
(1) Voir le livre de Naoufel Brahimi El Mili, « Le printemps arabe ; une manipulation ?
Appel des Imams de Jérusalem - Mise en garde contre Al-Qaradâwî
Dernière édition par abdelrahman le 2014-11-11, 13:16, édité 4 fois
AbouJessim 1 Grade
Nombre de messages : 97 Age : 46 Localisation : Lyon Date d'inscription : 08/04/2013
Sujet: Re: Sur l'assassinat du savant syrien Saïd Ramadan El-Bouti 2013-04-09, 14:26
J'invite les gens à voir les vidéos du sheikh Salahdine ben Ibrahim, il appelle à l'union des musulmans et à ne pas faire couler le sang des musulmans au profit des intérêts des mécréants. Ses vidéos sont un appel au calme et à la fraternité et un rappel du Qur'an et des hadiths.
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Sujet: Re: Sur l'assassinat du savant syrien Saïd Ramadan El-Bouti
Sur l'assassinat du savant syrien Saïd Ramadan El-Bouti
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