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 History - Hussein et la famille Hachémite

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2 participants
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abdelrahman
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abdelrahman


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Date d'inscription : 16/12/2012

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MessageSujet: History - Hussein et la famille Hachémite   History - Hussein et la famille Hachémite Empty2013-11-16, 17:37

Salam aleykoum wa rahmatoula wa barakatou

Bismillah ir-Rahman ir-Raheem was-salaat was-salaam `ala Nabiyyina Muhammadin wa `ala alihi wa sahibihi ajma`een

Hussein et la famille Hachémite

History - Hussein et la famille Hachémite Sharif_Husayn
Le CHERIF HUSSEIN IBN ALI.

Lu sur http://www.lesclesdumoyenorient.com

Hussein de La Mecque

Descendants directs de Hachem, l’arrière-grand-père du Prophète, les Ben Hachem, ou Hachémites, sont une des familles les plus prestigieuses de l’Islam. Au XXème siècle, les actions d’Hussein et de ses fils ont particulièrement marqué l’histoire du Moyen-Orient.

L’origine des Hachémites

Après la mort du Prophète Muhammad en 632, plusieurs titres honorifiques sont portés par ses descendants, comme celui de Chérif. Le dignitaire le plus respecté est le grand Chérif de la Mecque qui assure la garde des Lieux saints de l’Islam. Depuis le XIème siècle, cette prestigieuse fonction est attribuée à la famille Hachémite. Cependant, la conquête de la péninsule arabique au XVIème siècle par les Ottomans limite fortement leurs prérogatives : le contrôle des villes Saintes se fait dorénavant par des gouverneurs turcs et les activités des chérifs sont largement surveillées. Le chérif de La Mecque conserve néanmoins un rôle religieux extrêmement fort, reconnu dans l’ensemble du monde musulman. Au début du XXème, le chérifat revient à Hussein ben Ali, le 37ème descendant de Muhammad.

Hussein ben Ali, chérif de La Mecque

Hussein ben Ali est né vers 1856 à Constantinople. Il est le chef de la famille des Hachémites à la fin du XIXème siècle et devrait donc succéder au Chérifat. Cependant, le sultan-calife ottoman Abdülhamid II (1876-1909) le considère vite comme trop indépendant d’esprit et choisit de le placer en résidence surveillée à partir de 1893. Hussein vit donc durant une quinzaine d’années, avec sa femme et ses quatre fils (Ali 1879-1935), Abdallah (1880-1951), Faysal (1883-1933) et Zeid (1898-1970)) sur la rive européenne du Bosphore, loin du Hedjaz et des villes saintes pendant que son oncle, puis son cousin, se succèdent au titre de Chérif de La Mecque. En 1908, la Révolution jeune turque renverse le sultan et Hussein est autorisé à rentrer en Arabie pour devenir enfin officiellement le grand Chérif de La Mecque. De retour au Hedjaz, le nouveau chérif s’applique à renforcer son prestige ainsi que celui de la région. Il entretient avec le gouvernement Jeune-turc du comité Union et Progrès des rapports plus ou moins bons, refusant notamment que ce dernier réduise les fonctions des hachémites en faisant de la région une simple province ottomane. Il critique notamment le caractère moderniste et centraliste du Comité. Il faut tout de même noter que dans un premier temps, il n’entend pas encore se détacher réellement de l’emprise ottomane qu’il respecte. D’une manière générale, rares sont encore ceux qui envisagent sérieusement l’éclatement de l’Empire au moment de la révolution Jeune-turque même si les demandes pour plus d’autonomie sont courantes. Mais les multiples maladresses du régime turc lui font rapidement envisager la création d’un royaume arabe indépendant sous la houlette de son clan.

Vers la révolte arabe contre l’Empire ottoman

De par sa position, Hussein est rapidement contacté par les différents mouvements nationalistes arabes organisés en sociétés secrètes. Ces contacts le confortent dans sa volonté de former un royaume allant de la péninsule arabique jusqu’à Damas et Beyrouth, en comprenant Bagdad, Jérusalem et le Caire.

Pour envisager sérieusement un tel projet, il est nécessaire toutefois de se trouver un allié de taille. Hussein et ses fils pensent alors à la Grande-Bretagne. L’entrée dans la Première Guerre mondiale de l’Empire ottoman aux côtés des empires centraux convainc les Britanniques des avantages que peut leur apporter une telle alliance. Ils craignent en effet que l’appel au Djihad du sultan-calife ait de terribles conséquences sur leur position dans le monde musulman. Hussein refuse d’appuyer cet appel déclarant qu’il dépend de l’Egypte, protectorat britannique depuis 1914, pour l’approvisionnement de la région et qu’il ne peut donc pas se permettre une telle action. Une correspondance entre Hussein et Mac-Mahon ( correspondance Hussein-Mac-Mahon), le haut-commissaire britannique en Egypte, débute le 14 juillet 1915. Le chérif propose de rentrer en guerre contre les Ottomans en échange de la formation d’un Etat arabe indépendant comprenant l’ensemble des provinces arabes de l’Empire et une partie de l’Anatolie, et de la restitution aux Arabes du califat. Mac-Mahon accepte dans le principe mais reste très flou sur la question des frontières de cet Etat.

La révolte arabe est finalement déclenchée le 10 juin 1916 dans le Hedjaz. Hussein confie le déroulement des combats à ses fils qui arriveront à Damas en 1917. Dans son appel à l’insurrection, le chérif met plus l’accent sur le mépris pour la religion des dirigeants unionistes plutôt que sur l’importance d’une action nationaliste. Il ignore cependant qu’entre temps les Britanniques se sont mis d’accord avec les Français pour se partager les dépouilles de l’Empire mourant (accords Sykes-Picot). Hussein se proclame Roi du Hedjaz fin 1916 mais son titre n’est pas reconnu par l’ensemble des puissances européennes. Le Hedjaz est cependant reconnu comme un belligérant à part entière et de ce fait fait partie des vainqueurs du conflit mondial. A la fin de la guerre, son fils Faysal devient l’unique représentant des Arabes à la conférence de Versailles de 1919 destinée à négocier les conditions de paix. Malgré les promesses des Britanniques, les demandes d’Hussein n’y seront pas acceptées.

Par ailleurs, les prétentions d’Hussein sur le Hedjaz sont très mal perçues par l’émir du Najd, Ibn Sa’oud, son principal ennemi. Ce dernier, prônant l’Islam rigoriste Wahhabite, l’accuse de trahison envers l’Islam.

Hussein, prétendant au califat

Lorsque Mustapha Kemal abolit définitivement le califat en mars 1924, Hussein se proclame immédiatement Calife. Mais Ibn Sa’oud est bien déterminé à empêcher son concurrent d’endosser une telle responsabilité. Il lui dénie toute légitimité et envahit le Hedjaz durant l’été 1924. Hussein, lâché par les Britanniques, est contraint d’abdiquer le 3 octobre et doit se refugier à Amman où son fils Abdallah est devenu émir de Transjordanie. Un an plus tard, avec la conquête de Médine par les Saoudiens le 5 décembre 1925, le dernier Hachémite Ali encore établi dans le Hedjaz est également contraint de quitter la région. Hussein décède le 4 juin 1931 à Amman sans avoir pu devenir calife ni réunir l’ensemble du peuple musulman sous son autorité.

Bibliographie
Vincent Cloarec, Henry Laurens, Le Moyen-Orient au 20e siècle, Paris, Armand Colin, 2005
Remi Kauffer, La Saga des Hachémites, la tragédie du Moyen-Orient, Paris, Editions stock, 2009
James Moris, The Hashemite kings, London, Faber and Faber, 1959



Portrait : LE CHERIF HUSSEIN et la famille Hachémite.

Lu sur http://arabiesaoudite.blogspirit.com

De la révolution à la désillusion....

L’histoire de la famille Hachémite commence par ce que l’on appellera plus tard la révolution arabe, qui débute par la révolte en 1916 du CHERIF HUSSEIN IBN ALI (1854-1931) chef de la famille Hachémite contre l’EMIR de la MECQUE nommé par les OTTOMANS. Sa révolte avait pour but d’unifier toutes les contrés arabes du levant jusqu’à l’Arabie sous sa royauté.

Pendant ce temps les Turcs étaient en conflit contre les alliés dans la terrible Grande guerre (1914-1918). Il faut noter qu’à cette époque l’EMPIRE OTTOMAN, n’était pas réellement diriger par le KHALIF, mais par un gouvernement de type dictatorial appuyer par les Militaires, et cela s’accompagne par l’attitude néfaste des militaires turcs dans les provinces arabes et même dans les autres provinces non arabes, ce qui va attiser les révoltes internes de plus en plus. Les provinces arabes vivaient en autonomie par apport au gouvernement central d’Istanbul, mais le pouvoir du KHALIF qui devient faible face aux unionistes et au mouvement des Jeunes Turcs à tendance Nationaliste, ces derniers mouvement veulent centraliser le pouvoir de tout l’EMPIRE, et lorsque ils annulèrent l’autonomie des provinces, les Hachémites seront contre et vont bientôt prendre les armes.

Les alliés qui sentaient le fin de l’EMPIRE OTTOMAN proche et que dorénavant on l’appel « le vieil homme malade », vont s’entendre sur le partage des territoires sous le contrôle des Turcs, alors que la guerre n’est même pas finie. Les régions Arabes étaient le cœur de l’EMPIRE OTTOMAN, donc la négociation sur leurs partagent sera décidé dans un accord secret qui sera connu plus tard sous le nom de l’accord Sykes-Picot, (au début c’était un accord entre les Anglais, les Français et les Russes, mais après la révolution bolchevique la Russie est bien entendu écarté et ça sera d’ailleurs les bolcheviques qui révèleront les détailles de cette accord) Mais pour réaliser ce projet il fallait déjà abattre définitivement le KHALIFA Turcs, et donc provoquer des troubles dans les provinces arabes de l’EMPIRE OTTOMAN. Cette tâche sera l’affaire des Anglais expert en la matière, ils vont s’atteler à provoquer des troubles et des révoltes dans les régions arabes bien avant le début de la première guerre mondiale. Les anglais verront en la personne du CHERIF HUSSIN un chef capable d’en finir avec la présence des troupes Turcs en cas de guerre. Les premiers contacte vont se nouer dés l’année 1912, et ils vont se multiplier après le déclenchement de la première guerre mondiale.

La naïveté des Hachémites :

Encouragé par les Anglais, le CHERIF HUSSEIN tente de réunir autour de lui le maximum d’alliés arabes, mais ses plus proches alliés seront les nationalistes arabes en Syrie qui vont accepter de combattre sous la bannière du CHERIF HUSSEIN lorsque la révolution arabe se déclenchera. En effet le CHERIF envoi son fils FAYCAL négocier les conditions de cette alliance à DAMAS en 1915. Les arabes de SYRIE et FAYCAL DIN HUSSEIN vont signer un protocole « le protocole de DAMAS » où ils mentionnent les conditions de leurs aides militaires accorder aux Anglais, en contre partie ces derniers s’engagent à reconnaître l’indépendance de l’Etat Arabe après la fin de la guerre.

Alors va commencer une série de correspondance entre le CHERIF HUSSEIN et le gouverneur britannique d’EGYPTE HENRY McMAHON, où ils tentent tous les deux de trouver un accord sur les frontières du fameux Etat Arabe après la fin des OTTOMANS, et en mars 1916, McMAHON envoi une dernière correspondance au CHERIF lui annonçant que la GRANDE BRETAGNE accepte la constitution de l’Etat Arabe sous la conduite du CHERIF et que celui-ci n’incluait pas la zone du port d’ADEN dans le YEMEN (sud de l’ARABIE) et les régions du sud de l’IRAK.
Le CHERIF satisfait de cette entente avec les britanniques ne tardera pas à déclencher les hostilités contre les Turcs à la grande satisfaction des Anglais. Ne sachant pas que ces derniers avaient déjà négocier avec leurs principaux alliés dans la grande guerre (les Français et les Russes) le partage des provinces Arabes après la fin de l’EMPIRE OTTOMAN.
Le fils du CHERIF, FAYCAL va conduire les troupes Arabes qui étaient conduites en réalité par des officiers britanniques et français, comme le général ALLENBY et le fameux colonel LAWRENCE (voir article : LAWRENCE D’ARABIE) ne feront qu’ouvrir le chemin aux troupes alliés, les villes arabes vont tomber l’une après l’autre des mains des turcs non pas vers l’indépendance mais vers cette fois le colonialisme européen.

La déception est grande coté Arabe après la divulgation de l’accord secret de Sykes-Picot par les bolcheviques en 1917, mais ils continuent leur révolution contre les Turcs. Mais il s’aperçoivent de plus en plus de la non sincérité et de l’hypocrisie britannique, 2 novembre 1917, en pleine guerre mondiale, le ministre britannique des Affaires étrangères, le comte de Balfour, publie une lettre où il indique que son gouvernement est disposé à créer en Palestine un «foyer national juif» et cette appellation veut dire en réalité tout simplement un Etat juif, mais comme à chaque fois les Anglais utilisent des expressions vagues pour semer le doute.
Six semaines plus tard, le 9 décembre 1917, le général britannique Robert Allenby entre à Jérusalem sans coup férir. Son armée, venue d'Égypte, compte trois bataillons juifs. C'en est donc fini de sept siècles de domination musulmane sur la Ville Sainte d’AL-QUDS.

Le coup de grâce final viendra de la conférence de SAN REMO où les Anglais et Français se départages les dépouilles de l’EMPIRE OTTOMAN, et c’est comme cela que le MONDE ARABE entre sous la domination européenne avec l’aide involontaire du CHERIF HUSSEIN trop naïf mais aussi des nationalistes arabes, et si aujourd’hui les Anglais et le nationalistes arabes considèrent LE CHERIF HUSSEIN comme celui qui mena la grande révolution arabe, malheureusement cette révolution fut une grande désillusion.



Le conflit IBN SAOUD/ AL HACHIM

Lu sur http://arabiesaoudite.blogspirit.com

Le CHERIF HUSSEIN souverain de la famille HACHEMITE (voir l’article qui lui est consacré) EMIR du HIJAZ, détesté ardemment les IBN SAOUD, en effet il espéré devenir le roi des Arabes et il voyait d’un mauvaise œil l’accession fulgurante des IBN SAOUD. Alors il ne cesse d’apporter aide et assistance à tous ceux qui combattaient ABD AL AZIZ, les Anglais vont essayer dans un premier temps de calmer le jeu entre les deux parties tout en jouant sur le vieil adage « diviser pour mieux régner » . Le but des anglais était claire, il fallait à tout prix en finir avec l’idée et le principe d’un KHALIFAT musulman, alors ils vont essayer de s’allier les deux parties arabes, on verra alors le Ministre britannique des affaires étrangères appuyer le CHERIF HUSSEIN et en même temps on retrouve de l’autre coté l’appui du gouverneur des INDES BRITANIQUE à la famille des IBN SAOUD.

Seulement les rapports entre le CHERIF et les Anglais vont se corser après que le CHERIF s’autoproclame KHALIF DES MUSULMANS sans avoir auparavant consulter les Anglais. Cette fois la balance va pencher du coté des IBN SAOUD et rapidement les premières batailles entre les deux protagonistes arabes eurent lieux. Mais sans l’appui de l’armé britannique les troupes Hachémites sous la conduite du CHERIF vont perdre bataille après bataille, en septembre 1924, la ville de TAIF tombe aux mains des IBN SAOUD, en octobre ils entrent à MEKKA (LA MECQUE) premier lieux saint de l’Islam sans combattre et selon les rites de la tradition musulmane, ensuite cela sera MEDINE second lieu saint de l’Islam, sa garnison se rend sans combattre, le CHERIF HUSSEIN était acculer dans ses derniers retranchements, par l’intermédiaire des Anglais il signe avec les IBN SAOUD un accord final où lui et ses derniers combattants se rendent et par la suite il devra quitter le pays définitivement.

Et c’est comme cela que ABD AL AZIZ IBN SAOUD obtient le titre de « ROI DU HIJAZ SULTAN DU NEJD ET DE SES PROVINCES » à partir du 10 janvier de l’année 1926. Il sera reconnu par les Anglais, les Français, les Soviétiques, les Belges, les Hollandais. Les Anglais vont lui attribuer le surnom de NAPOLEON DES ARABES.


https://islam-aarifa.1fr1.net/search?mode=searchbox&search_keywords=history&show_results=topics



Dernière édition par abdelrahman le 2013-11-26, 08:38, édité 1 fois
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Ayman
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MessageSujet: Re: History - Hussein et la famille Hachémite   History - Hussein et la famille Hachémite Empty2013-11-16, 19:31


Salam aleykoum,

Ce que je n'arrive pas à comprendre, comment se fait-il que le roi Hussein de Jordanie ne se réclame pas de la descendance du Prophète (saws) alors que les souverains du Maroc affirment ouvertement l'être.
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abdelrahman
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abdelrahman


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MessageSujet: Re: History - Hussein et la famille Hachémite   History - Hussein et la famille Hachémite Empty2013-11-17, 11:46

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Généalogie de la maison royale des Hachémites
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