personnalité du Prophète (sws)

Salam aleykoum,

Aicha (r.a) disait :

Une des faveurs que Dieu m'a accordées, c'est d'avoir fait, que l'Envoyé de Dieu (à Lui, bénédiction et salut) soit mort dans mon appartement, au jour qu'il me consacrait, et (la tête) entre mon épaule et mon menton. en outre Dieu a permis que ma salive et celle du Prophète fussent mélangées lors de sa mort. En effet, Abderrah'mân était entré dans ma chambre en tenant à la main un souâk (miswâk) pendant que je soutenais le Très Saint Envoyé. En voyant qu'il regardait ce souâk, je compris que le Prophète le désirait : "veux-tu, lui dis-je, que je te le donne ? " d'un geste de la tête, il me fait signe que oui. Je le lui remis, et comme il souffrait beaucoup, je demandais s'il voulait que je le lui mâchonnasse ; de la tête, il me fait signe de le mâchonner. Et je le fis. Devant lui, il y avait une outre. Il se m'y à y tremper les mains et se les passait ensuite sur le visage, en disant : "il n'y a d'autre divinité que Dieu ; la mort a ses affres." Enfin, il leva la main et se mit à dire : "Avec le compagnon, le plus élevé" ; puis il rendit le dernier soupir en laissant tomber sa main

El Boukhari 64-83 (17)

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622. Anas (qu’Allah l’agrée) rapporte : « Je n'ai jamais touché un brocart, ni une étoffe de soie plus lisse que la paume de la main du Messager de Dieu. Je n'ai jamais senti de parfum plus suave que celui du Messager de Dieu. J'ai effectivement servi le Messager de Dieu durant dix années. Jamais il ne m'a dit « Fi ! » (En signe d'impatience et de réprobation). Jamais il ne m'a dit pour quelque chose que j'avais faite - «Pourquoi l'as-tu faite ? » - ni pour quelque chose que je n'avais pas faite, « Que ne l'aies-tu faite ? »

Salama aleykoum,

Selon Aicha (ra), le Prophète (à Lui bénédiction et salut), chaque soir, lorsqu'il allait se coucher, réunissait les paumes de ses mains, soufflait dedans et récitait les trois dernières sourates du Coran :

"dis : Dieu est unique, dis : je recherche refuge auprès du seigneur de l'aube, et dis : je cherche refuge auprès du seigneur des hommes."

Là dessus, il frottait de ses mains, les parties de son corps, dans la mesure du possible, commençant par sa tête, puis le visage, ensuite la partie antérieure du corps, il faisait cela trois fois

Salama aleykoum,

Aicha (ra) a dit : l'Envoyé de Dieu (sws) faisait la prière rituelle dans sa chambre ; or le mur de sa chambre était petit, et les gens voyaient la silhoutte du Très Saint Evoyé, et ils se mirent debout pour faire cette prière comme Lui.

Au matin, on en parla. La nuit suivante les gens se mirent en prière comme Il le faisait, et ils agirent ainsi durant deux ou trois nuits, puis le Très Saint Envoyé demeura sans se faire voir de l'extérieur.

Au matin, les gens, lui en parlèrent, alors il leur dit : " j'ai crains que la prière de la nuit, ne vous soit imposée par Dieu, à titre obligatoire. "
(El Boukhari) 96-3 (2)

 

up.

 

RE UP.

Selon Anas Ben Malek l'envoyé de Dieu (à lui bénédiction et salut) n'était ni excessivement grand, ni pourtant petit, ni blanc mat de teint, ni rougeâtre, sa chevelure n'était ni très crépue, ni tout à fait lisse, elle lui descendait jusqu'au milieu des oreilles et des. épaules. Il a ajouté : "ses mains et ses pieds étaient forts et je n'ai jamais vu leur semblable, ni avant, ni après. Il avait la main large."

El Boukhari 77 - 68 (1, 5 et 7) -La "largeur de main" signifie générosité-

Aicha (qu'Allah swt l'agrée) a dit : 'jamais la main de l'Envoyé de Dieu (à lui bénédiction et salut) n'a touché la main d'une femme, à moins que celle-ci ne lui appartint'.

El Boukhari 93-49 (2)

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Selon Anas ben Malek (qu'Allah swt l'agré), une esclave parmi celles des gens de Médine, prenait l'Envoyé de Dieu (à Lui bénédiction et salut) par la main, et l'emmenait où elle voulait.

El Boukhari 78-61

je ne comprends pas cette contradiction ???