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| les bébés qui ont parlé dans leurs berceaux | |
| | Auteur | Message |
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Admin 9 Grades
Nombre de messages : 2450 Age : 59 Localisation : strasbourg Date d'inscription : 01/04/2006
| Sujet: les bébés qui ont parlé dans leurs berceaux 2007-08-28, 19:30 | |
| Abû Hurayra rapporte ces propos du Prophète :
"Il n'y a que trois nouveau-nés qui ont parlé au berceau : Jesus fils de Marie, l'enfant (faussement attribué) à Jurayj.
Jurayj était un ascète qui vivait retiré dans un ermitage. Un jour sa mère vint lui rendre visite alors qu'il était en prière. Il se demanda :
"Seigneur dois-je terminer ma prière ou bien répondre à ma mère ?" Il poursuivit sa prière et sa mère s'en alla. Le lendemain elle revint le voir mais il était encore en prière. A nouveau il se demanda : "Seigneur dois-je terminer ma prière ou répondre à ma mère ?" et à nouveau il poursuivit sa prière et sa mère s'en alla. Le troisième jour la même scène se reproduisit. Sa mère adressa alors cette requête à son Seigneur : "Mon Dieu ne le fais pas périr sans qu'il ait regardé le visage des prostituées."
Les enfants d'Israël commencèrent à s'entretenir de Jurayj et de sa piété. Une prostituée, connue pour sa beauté, leur fit cette proposition :
"Si vous le voulez, je le séduirai." Elle s'offrit à lui, mais il ne lui prêta aucune attention. Elle alla alors trouver un berger qui avait coutume de se reposer dans l'ermitage de Jurayj et s'offrit à lui. Il commit l'adultère avec elle et lui fit un enfant. Lorsqu'elle eut accouché, elle attribua la paternité de l'enfant à Jurayj. Il se rendirent chez lui et le firent sortir de son ermitage qu'ils détruisirent et se mirent à le frapper. Il leur demanda : "Qu'avez-vous donc ?" Il lui répondirent : "Tu as commis l'adultère avec cette prostituée qui eu un enfant de toi. -Où est l'enfant ?" demanda-t-il. Ils le lui apportèrent. "Laissez-moi le temps d'accomplir une prière." Il fit donc sa prière et lorsqu'il l'eut terminée, il s'approcha du bébé qu'il frappa au ventre en disant : "Enfant qui donc est ton père ?" L'enfant répondit : "C'est le berger." Ils se précipitèrent alors sur Jurayj pour l'étreindre et l'embrasser. Puis ils lui dirent : "Nous allons reconstruire ton ermitage en or. -Non, contentez-vous de la reconstruire en pisé comme il l'était initialement", répondit-il. Et il s'exécutèrent.
Le troisième nouveau-né à avoir parlé au berceau tétait sa mère, lorsqu'un cavalier somptueusement vêtu et monté sur un cheval de race passa devant eux. Sa mère demanda alors à Dieu :
"Mon Dieu, fais que mon fils soit comme lui." L'enfant abandonna le sein de sa mère et se porta au-devant du cavalier qu'il observa puis dit : "Mon Dieu, fais que je ne sois pas comme lui." Puis il revint téter sa mère. (Je revois encore l'Envoyé de Dieu se mettre l'index dans la bouche et le sucer pour mimer la scène de l'allaitement). Puis la mère et l'enfant passèrent devant une jeune fille que les gens frappaient en disant : "Tu es une prostituée et une voleuse", et elle leur répondit : "C'est Dieu qui me suffit, quel excellent Garant." La mère demanda alors à Dieu : "Mon Dieu, fais que mon fils ne soit pas comme elle." L'enfant abandonna à nouveau le sein de sa mère, considéra la jeune fille et dit : "Mon Dieu, fais que je sois comme elle ! "
Alors la mère demanda à son enfant :
"J'ai vu passer un homme somptueusement vêtu, j'ai demandé à Dieu de t'accorder la même chose qu'à lui et tu as demandé le contraire. Puis nous sommes passés devant une jeune fille que les gens battaient et qu'ils accusaient de vol et de prostitution. J'ai demandé à Dieu que tu ne lui ressembles pas et tu as demandé le contraire."
L'enfant répondit :
"L'homme était un tyran et j'ai demandé à Dieu de ne pas être comme lui. Quand à la jeune fille elle était accusée à tort de vol et de prostitution et j'ai demandé à Dieu d'être comme elle." (Rapporté par Boukhari et Mouslim)
Que Dieu nous accorde la pieuse clairvoyance, Il est puissant sur toute chose. Amîn ya Allah.
As-salam 'alikoum wa rahmatoullahi wa barakatou :) | |
| | | soumise 3 Grades
Nombre de messages : 387 Age : 46 Localisation : algerie Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: les bébés qui ont parlé dans leurs berceaux 2010-08-23, 21:56 | |
| essalam alaykoum, je viens de lire ce texte interessant en faisant des recherches, et je me suis rappelee un autre bebe qui a parle je crois, et si je me trompe corrigez moi svp, c'est le petit qui a parle à sa mere quand un roi voulait mettre des croyants dans un fosse (il s'agit de l'histoire des gens de l'ukhdud): Le roi dit : « Jetez-y tous ceux qui ne veulent pas renier leur foi ». C’est ce qu’ils firent jusqu’à ce que vint une femme avec son petit. Elle eut peur et refusa de se jeter dans le feu. Son enfant lui dit : « Mère ! Patiente car tu es sur la juste voie ». maintenant je ne sais pas si le petit etait un bebe ou pas ! | |
| | | Ayman 5 Grades
Nombre de messages : 1980 Localisation : algerie Date d'inscription : 08/04/2006
| Sujet: Re: les bébés qui ont parlé dans leurs berceaux 2010-08-23, 22:08 | |
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Salam aleykoum,
Ce fait est relaté dans l'histoire de la coiffeuse des filles de Pharaon.
Une femme pieuse qui a vécu sous le règne de Pharaon. Elle était à son service tout comme son mari : ce dernier était un proche de Pharaon et elle était une sorte de gouvernante pour ses filles.
Ce couple se convertit à l’Islam.
Lorsqu’il apprit cela, Pharaon tua le mari. Elle garda sa fonction. Elle avait cinq enfants à nourrir et elle devait donc travailler pour eux.
Un jour, alors qu’elle coiffait l’une des filles de Pharaon, le peigne lui tomba des mains et elle dit : - Au nom d’Allah
La fille qui se faisait peigner lui dit :
- Allah ? Qui ? Mon père ?
Elle n’a pas pu se retenir et lui cria au visage !
- Non ! Pas ton père ! Allah : mon Seigneur, ton Seigneur et Celui de ton père !
La fille s’étonna. Elle ne comprenait pas comment l’on pouvait adorer une autre forme de divinité que son père.
Le Pharaon en fut informé. Il s’étonna lui aussi d’avoir dans son palais quelqu’un qui adorait un autre que lui.
Il lui ordonna de se soumettre à lui. Elle refusa.
Il l’emprisonna et la tortura. Mais elle ne céda pas.
Il ordonna un jour de faire bouillir de l’huile dans une grande marmite, qu’il fit mettre devant elle.
Elle s’est alors dit qu’elle n’avait qu’une seule âme et qu’il était peut-être temps pour elle de rencontrer son Seigneur.
Pharaon était si cruel qu ‘il voulait pousser la perversité à son summum. Il eut l’idée de faire venir ses cinq enfants. Ils étaient tout ce qu’elle possédait en cette vie. Ils étaient les pauvres orphelins pour qui elle travaillait tant !
Les enfants se suivaient les uns les autres. Ils ne savaient rien de ce qui les attendait. Ils regardaient tout autour d’eux sans trop comprendre ce qui se passait. Quand ils virent leur mère, ils coururent se serrer contre elle. Elle les rassembla dans ses bras et commença à les embrasser. Elle prit ensuite le plus petit, son bébé, et lui donna le sein.
Pharaon ordonna de pousser le plus aîné dans l’huile. Les soldats le prirent0 Ils e débattait, criait, et suppliait Pharaon… En vain. Il fut jeté dans l’huile sous le regard de sa mère et de ses frères. Son corps disparut dans ce bouillon puis ses os réapparurent à la surface.
Pharaon se tourna alors vers la mère et l’interrogea :
- C’est qui ton Dieu maintenant ?
Elle lui répondit avec toute l’assurance d’une croyante :
- Allah ! Allah !
Furieux, il ordonna d’en faire de même avec son deuxième enfant. Les soldats l’enlevèrent de bras de sa mère et le poussèrent dans l’huile. Ses os se mélangèrent à ceux de son frère. Devant le refus de la mère de changer de religion, Pharaon ordonna de tuer le troisième, puis le quatrième enfant.
Celui-ci était encore très petit et il avait affreusement peur. Il se collait contre sa mère. Les soldats durent le tirer très fort car il pleurait accroché à la jambe de sa mère qui s’efforçait de le garder encore un peu.
Elle voulait encore le sentir une dernière fois. Son regard se fixa sur lui pendant qu’ils le poussaient dans ce bain d’Enfer. Ils n’avaient eu aucune pitié.
Son petit corps disparut lui aussi. Elle ne pouvait le quitter du regard. Les larmes coulaient sur ses joues. Il venait de la quitter pour l’autre monde.
Pendant un moment elle s’est laissée emporter par ses souvenirs. Elle n’avait plus dans son esprit que son image, les moments passés ensemble, les nuits passées à son chevet, ses jouets, ses premiers mots, ses habits…
Puis les soldats vinrent vers elle. Son esprit revint soudainement à la cruelle réalité.
Ils s’en prirent au cinquième et dernier enfant. Il n’était encore qu’un bébé. Ils l’arrachèrent du sein du sein qu’il tétait. Il cria et se mit à pleurer.
La mère n’a pas pu s’empêcher de pleure et de le retenir encore un peu. C’est alors qu’Allah le fit parler. Il dit :
- Ô mère ! Endure cette épreuve ! C’est toi qui a raison.
On le jeta avec ses frères dans l’huile bouillante.
Son corps s’est vite dissolu. Il avait encore le lait de sa mère dans la bouche, ses cheveux dans les mains, ses larmes sur les habits.
Ses fils venaient de partir les uns après les autres vers leur Seigneur.
Les restes de leurs petits os flottaient encore dans l’huile. L’odeur de leur chair se faisait sentir. Ses chers enfants n’étaient plus.
Elle avait le cœur meurtri. Des années de bonheur s’envolèrent d’un coup.
Elle aurait pu garder ses enfants auprès d’elle, il n’aurait suffi que d’un seul mot à Pharaon.
Mais elle a préféré ce qui se trouve chez son Seigneur, elle savait que cela était meilleur pour elle car Ses récompenses sont éternelle.
Puis ce fut à son tour. On l’encercla et on la porta. Juste avant qu’ils ne la jettent, elle cria à Pharaon :
- J’ai une dernière requête à faire !
- Laquelle ? Dit-il de son air méprisant.
- Faites en sorte que nos os, ceux de mes enfants et les miens, soient rassemblés avant de les enterrer.
Puis elle ferma ses yeux et suivit ses enfants dans le sentier qui mène au Seigneur.
Le Prophète (saws) a dit :
"Durant le voyage nocturne où l’on m’a fait traversé les cieux, une agréable odeur attira mon attention. Je demandai à l’ange Jibril :
- Quelle est cette odeur ?
- C’est celle de la coiffeuse des filles de Pharaon et celle de ses enfants, m’a-t-il répondu". (Rapporté par Al-Bayhaqi)
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| | | soumise 3 Grades
Nombre de messages : 387 Age : 46 Localisation : algerie Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: les bébés qui ont parlé dans leurs berceaux 2010-08-23, 22:26 | |
| j'avais oublie cette emouvante histoire, baraka ALLAH fik de nous l'avoir rappele, donc ça fait 5 bebe? | |
| | | Ayman 5 Grades
Nombre de messages : 1980 Localisation : algerie Date d'inscription : 08/04/2006
| Sujet: Re: les bébés qui ont parlé dans leurs berceaux 2010-08-23, 22:37 | |
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Salam aleykoum,
Je ne me rappelle pas des autres, excepté Jésus (aleyh essalam).
Un rappel sur les autres sera le bienvenu.
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| | | soumise 3 Grades
Nombre de messages : 387 Age : 46 Localisation : algerie Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: les bébés qui ont parlé dans leurs berceaux 2010-08-23, 22:53 | |
| les trois raconte par le frere admin, celle que j'ai cite, et la votre = 5 ! | |
| | | Ayman 5 Grades
Nombre de messages : 1980 Localisation : algerie Date d'inscription : 08/04/2006
| Sujet: Re: les bébés qui ont parlé dans leurs berceaux 2010-08-23, 23:01 | |
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Salam aleykoum,
Celle que vous avez citée est la même que celle que j'ai relaté, à la différence qu'il s'agissait du Pharaon et non pas d'un roi.
Les paroles du bébé sont identiques :
- Son enfant lui dit : « Mère ! Patiente car tu es sur la juste voie » (votre écrit)
- Ô mère ! Endure cette épreuve ! C’est toi qui a raison (le mien).
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| | | soumise 3 Grades
Nombre de messages : 387 Age : 46 Localisation : algerie Date d'inscription : 01/05/2010
| Sujet: Re: les bébés qui ont parlé dans leurs berceaux 2010-08-24, 14:48 | |
| essalam alaykum,
voici l'histoire des gens de l'ukhdoud, et elle diffère de la votre, moi je pensais que c'est deux histoires différentes.
D’après Chou’ayb (RA), Messager de Dieu , a dit : « jadis vivait un roi qui avait un sorcier. Quand le sorcier se sentit vieillir, il dit au roi : « Me voilà maintenant âgé. Envoie-moi donc un jeune homme pour que je lui enseigne la magie ». Il lui envoya un jeune homme. Sur son chemin vers le sorcier, le jeune homme rencontra un moine. Il s’assit auprès de lui et écouta ses paroles qui lui plurent. Il faisait ainsi chaque fois qu’il se rendait chez le sorcier. Quand il arrivait auprès du sorcier, ce dernier le frappait pour son retard. Il s’en plaignit au moine qui lui dit : « Quand tu as peur de la colère du sorcier, dis lui : « J’ai été retenu par ma famille » et quand tu crains la colère de la famille, dis lui : « J’ai été retenu par le sorcier ». Entre-temps, voilà qu’une bête énorme interdit le passage aux gens. Le jeune homme dit : « Aujourd’hui je vais savoir qui du sorcier ou du moine à la plus grande valeur ». Il prit une pierre et dit : « Seigneur Dieu ! Si l’oeuvre du moine T’est préférable à celle du sorcier, tue cette bête afin de permettre aux gens de passer ». Il la frappa alors avec la pierre et la tua sur le coup. Les gens eurent ainsi la voie libre. Il vint en informer le moine qui lui dit : « Mon petit, tu es devenu maintenant plus fort que moi puisque tu es arrivé à ce miracle. C’est pourquoi tu vas certainement être mis à l’épreuve. S’il en est ainsi, ne dis à personne où je suis ». Ainsi donc le jeune homme en arriva à guérir l’aveugle de naissance et le lépreux. Il guérissait les gens de la plupart de leurs maladies. L’un des courtisans du roi qui était aveugle en entendit parler et se rendit auprès de lui avec de nombreux cadeaux. Il lui dit : Tout ce que tu vois là est à toi si tu arrives à me guérir ». Le jeune homme lui dit : « Je ne guéris personne moi-même mais c’est uniquement Dieu le Très-Haut qui guérit. Si tu crois en Dieu le Très-Haut, je Le prierai et Il te guérira ». Le courtisan crut en Dieu et Dieu le guérit. Il se rendit chez le roi et s’assit près de lui comme il en avait coutume. Le roi lui demanda : « Qui donc t’a rendu la vue ? ». Il dit : « Mon Seigneur et Maître ». Il lui dit : « Est-ce que tu as un Seigneur autre que moi ? ». Il dit : « Mon Seigneur et le tien est Dieu ». Le roi le jeta en prison et ne cessa pas de le torturer jusqu’à ce qu’il dénonçât le jeune homme. On fit alors venir le jeune homme et le roi lui dit : « Mon petit, te voilà arrivé à guérir avec ta magie l’aveugle-né et le lépreux et à faire telle et telle chose ». Le jeune homme lui dit : « Je ne guérit personne mais c’est Dieu le Très-Haut seul qui guérit ». Il le jeta donc en prison et ne cessa de le torturer jusqu’à ce qu’il dénonçât le moine. On fit venir le moine et on lui dit : « Renie ta foi ! » et il refusa de le faire. On ordonna d’apporter une scie qu’on lui plaça sur la raie de ses cheveux. On lui coupa ensuite la tête qui tomba en deux morceaux. On fit alors venir le courtisan et on lui dit : « Renie ta foi ! » mais il refusa. On lui plaça la scie sur la raie de ses cheveux et on lui coupa la tête qui tomba en deux morceaux. On fit enfin venir le jeune homme et on lui dit : « Renie ta foi ! » Mais il refusa. Le roi le jeta à quelques-uns de sa suite et leur dit : « Amenez-le à telle montagne et escaladez-la avec lui. Une fois parvenue à son sommet, demandez-lui de renier sa foi, sinon jetez-le du haut de la montagne. Ils le prirent donc avec eux et escaladèrent la montagne. Il dit : « Seigneur Dieu ! Sauve-moi d’eux par ce que Tu veux ! ». La montagne se mit alors à branler. Ils tombèrent dans le vide et il vint dire au roi : « Dieu m’a sauvé d’eux ». Le roi le jeta à des gens de sa suite et leur dit : « Allez avec lui et mettez-le dans une grande barque. Une fois arrivés au large, demandez-lui de renier sa foi, sinon jetez-le à la mer ». Ils partirent avec lui et, une fois en pleine mer, il dit : « Seigneur Dieu ! Sauve-moi d’eux avec ce que Tu veux ! ». La barque se retourna et ils se noyèrent. Il vint en marchant (sur l’eau) jusqu’au roi qui lui dit : « qu’ont fait tes compagnons ? ». Il lui dit : « Dieu m’a sauvé d’eux ». Il dit alors au roi : « Jamais tu ne pourras me tuer si tu ne fais pas ce que je vais t’ordonner de faire. « M’ordonner quoi ? » demanda le roi. « Tu rassembles ton peuple sur un même plateau puis tu me crucifie sur le tronc d’un palmier. Tu prends alors une flèche de mon carquois, tu places la flèche au milieu de la corde de l’arc et tu dis : « Au nom de Dieu, Seigneur et Maître de ce jeune homme », tu me tires alors la flèche et si, tu fais tout cela, tu me tueras sûrement ». Il rassembla donc les gens sur un même plateau, crucifia le jeune homme sur le tronc d’un palmier, prit une flèche de son carquois et la plaça au milieu de la corde de l’arc. Puis il dit : « Au nom de Dieu, Seigneur et Maître du jeune homme ! ». Il tira alors la flèche qui alla se planter dans sa tempe. Le jeune homme porta la main à sa tempe et mourut sur le coup. Les gens dirent alors : « Nous croyons au Seigneur et Maître du jeune homme ». On vint dire au roi : « Que dis-tu de ce que tu craignais ? Par Dieu, te voilà donc atteint de l’objet de la crainte et voilà que ton peuple à cru en Dieu ». Il ordonna de creuser des fossés à l’entrée de chaque route. On les creusa et on y alluma le feu. Le roi dit : « Jetez-y tous ceux qui ne veulent pas renier leur foi ». C’est ce qu’ils firent jusqu’à ce que vint une femme avec son petit. Elle eut peur et refusa de se jeter dans le feu. Son enfant lui dit : « Mère ! Patiente car tu es sur la juste voie ». | |
| | | Ayman 5 Grades
Nombre de messages : 1980 Localisation : algerie Date d'inscription : 08/04/2006
| Sujet: Re: les bébés qui ont parlé dans leurs berceaux 2010-08-24, 20:31 | |
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Salam aleykoum,
Vous avez raison, il s'agit de deux histoires différentes.
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| | | aaNemo nouveau / nouvelle
Nombre de messages : 1 Age : 35 Localisation : Algerie Date d'inscription : 23/05/2012
| Sujet: Re: les bébés qui ont parlé dans leurs berceaux 2012-05-23, 10:39 | |
| Au total, Cinq nouveau-nés ? mais vous dites que Abû Hurayra rapporte ces propos du Prophète :
"Il n'y a que TROIS nouveau-nés qui ont parlé au berceau ... " ! | |
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